odyssee climatique
 
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PRESENTATION DE L’EXPEDITION


12 mois d’expédition, 18 000 miles nautiques, 21 étapes, 9 mers, 9 pays...


 

Les scientifiques s’accordent a dire que la température moyenne mondiale augmentera de 2 à 4,5 degrés d’ici la fin du 21eme siècle, entraînant une hausse du niveau marin de 30 à 50 centimètres. Ce processus est déjà bien amorcé dans différents endroits de la planète. En particulier, la banquise arctique se rétracte au rythme de 7,4 pour cent par décennie depuis 30 ans.

Ce constat préoccupant est le point de départ de notre odyssée climatique, voyage entrepris autour du continent nord américain afin de mieux comprendre les causes, les risques mais aussi les défis liés au changement climatique. A bord du voilier polaire le «Southern Star», 12 mois et 21 escales permettront d’aborder les thèmes principaux du changement climatique sur le plan environnemental, mais aussi écologique, économique, social, institutionnel et politique. Les sujets développés couvriront les échelles internationales, régionales et locales et s’attacheront à traiter l’ensemble des secteurs d’activité

Partageant le quotidien de ces hommes, femmes et enfants rencontrés au fil de l’eau, diffusant leurs témoignages ou leurs messages d’espoir adressés à la communauté internationale, nous ajouterons à la démarche de vulgarisation scientifique une approche profondément humaine.

 

NOTE D’INTENTION GENERALE


On a tous en tête la catastrophe annoncée ! Les films sont légions sur ce thème, la banquise disparaît sans doute à une vitesse que nous avons totalement sous-estimée, le Gulf Stream pourrait même s’arrêter ou s’inverser et provoquer dans nos contrées tempérées une nouvelle ère glacière?

Le réchauffement climatique rend notre avenir plus incertain que jamais…

Alors quoi ? Doit-on se regarder dans le blanc des yeux, paralysés par l’enjeu et attendre le grand dénouement ? Ou faire quelque chose…

Visiblement il y a ceux pour qui c’est déjà trop tard, ceux qui n’y croient pas, ceux pour qui on peut encore faire quelque chose, pourvu que tout redevienne comme avant, ceux pour qui « on s’en fout, on ne sera plus là pour le voir, mais qui continuent à faire des enfants» et puis il y a les autres, ceux qui agissent…

Vive le réchauffement climatique !


Sans se leurrer évidemment, tout n’est pas rose, nous le savons bien. Du coup, les films ouvriront des portes scientifiques, sociales, économiques, politiques... à travers Olivier Pitras et l’expédition, qui s’avère être une vraie odyssée climatique, nous irons à la rencontre des peuples, des gens, de ce qui se fait. Le fait d’arriver en bateau est une formidable opportunité de rencontre, un moyen plus évident d’aller vers l’autre, et en retour d’être accueilli, car le bateau est tout le contraire de cet anonyme, au milieu d’une foule, descendu d’un avion, qui reste dans son coin!!!

Du coup, l’axe que nous avons choisi pour cette série documentaire est de parler du réchauffement climatique de manière positive, constructive, innovante et créative, décalée et inattendue.

Le changement climatique n’est peut-être pas toujours aussi mauvais que ce qu’on nous répète à longueur de journée car il nous pousse à apporter des réponses, ne serait-ce qu’à repenser notre mode de vie, et trouver des initiatives étonnantes et innovantes. Bref, une conception du monde un peu plus positive que la conception occidentale habituelle.

Je crois que la vision très alarmiste est essentiellement occidentale. Elle ne me semble pas coller aux préoccupations de la plupart des habitants de cette planète (je voyage beaucoup)... et si demain les ours blancs n’ont plus de terrain au nord? Peut-être en trouveront-ils un ailleurs si la glace vient envahir nos zones tempérées? De même on sait que la zone glaciale arctique n’a pastoujours été «glaciale» (forêts pétrifiés de Axel Heiberg près d’Ellesmere, et preuves récentes de sédiments tropicaux au Svalbard, du coup où étaient les ours polaires en ce temps-là? Je sais, c’était il y a environ 55 millions d’années... ).


Et même pourquoi pas, selon les endroits et communautés que nous croiserons, certains pourraient penser « vive le réchauffement...» comme nous le savons certains inuit (notamment) sont contents de cette nouvelle situation, pour quelles raisons ? Peut-être parce que les Inuit quant à eux, d’un point de vue culturel, ont intégré le changement à leur mode de vie. Pour eux, tout est en mouvement, comme pour les philosophies extrêmes orientales ou encore la physique quantique.

Du coup, c’est aussi grâce au réchauffement climatique que le passage du nord ouest est possible... en bateau. Qu’est-ce que cela va signifier pour les gros porteurs? Est-ce que les industriels vont se jeter sur cet axe maritime? Qu’est-ce que cela implique? Les réserves de pétrole du Groenland risquent d’être tout à coup accessible.

En gros, le bon côté du réchauffement, qui nous pousse à être encore plus créatif, pour d’autres, à imaginer une nouvelle économie, bref... Le réchauffement climatique n’est ni bien, ni mal, il est une conséquence, une réponse à ce qui se passe aujourd’hui sur terre... Ce qui pourrait être bien ou mal, c’est ce que l’Homme va en faire, ou ce que certains en font déjà...

Alors, vive le réchauffement climatique? Ou vive l’homme et sa formidable capacité d’adaptation et de création? Ou encore vive ce magnifique joyau, cette terre, sur laquelle nous vivons?

Qui détient les solutions?

En faisant l’effort d’aller vers les communautés humaines quelles qu’elles soient, où qu’elles soient, l’action suscite la réaction. On tend la main et il y a toujours quelqu’un, quelque part pour la saisir. On participe alors au changement de ce monde en marche. Ces élans vitaux sont une inspiration profonde pour mon travail, pour ma vie, pour ce film.

C’est avant tout ce qui m’a séduit dans cette odyssée climatique du Southern Star, et plus particulièrement chez Olivier Pitras, cet homme qui met toute sa vie au service des autres, à travers cette formidable épopée qu’il propose à des gens de tous bords : scientifiques confirmés, équipiers partenaires, populations autochtones, simples quidams qui ont tous en commun de vouloir partir vivre leur rêve d’aventure et de planète.

Pour cette série documentaire sur cette formidable Odyssée climatique, nous partirons à la rencontre des populations locales et en quête d’une mise en lumière, d’une compréhension des enjeux du réchauffement climatique, avec en trame de fond le quotidien de cette expédition. Olivier Pitras, Capitaine du Southern Star en est le personnage central, récurrent. Parti pour 1 an, il est celui qui fait le lien entre tous les personnages.

A l’image de son initiateur, c’est une expédition avant tout « profondément » humaniste qui veut parler, comprendre, faire prendre conscience du réchauffement climatique de tout l’écosystème boréal en faisant ce tour complet d’Amérique du nord (et par allégorie de la planète toute entière). De l’arctique à l’équateur, via Panama, du Grand Nord aux tropiques, des inuit aux indiens, des baleines aux coraux des mers chaudes…


Nous nous attarderons particulièrement sur les rencontres aux étapes. Pour bien rester fidèle à notre état d’esprit de découverte et de curiosité, nous resterons ouverts et alertes aux rencontres fortuites. Tout au long du parcours, nous aborderons des thématiques scientifiques avec une réelle volonté de vulgarisation. Le message est positif et facilement compréhensible par le plus grand nombre.

Il ne s’agit pas d’envoyer un énième signal d’alarme ni de faire une série documentaire annonçant la fin du monde pour demain, mais au contraire de bien prendre conscience de la beauté de notre planète, cet être vivant, sur lequel nous vivons.

La quête du Southern Star devient une véritable enquête : Il s’agit de faire un état des lieux des écosystèmes rencontrés, de la biodiversité, des impacts du réchauffement climatique sur les populations humaines, et donc des solutions envisagées.

Ce fameux réchauffement climatique, dans toutes les bouches depuis peu, nous l’abordons par un autre angle : à travers les scientifiques, les experts, et aussi de simples quidams, témoins de cette nouvelle ère.

Qu’est-ce que ça change ? Mais aussi, qu’est-ce que ça apporte ? Quelles sont les solutions envisagées ? Qui a changé son comportement ? Qui fait quoi individuellement? Doit-on attendre après les gouvernements et les lois ? Les discussions entre Olivier et ses interlocuteurs, à bord ou lors des étapes, nous apportent un nouvel éclairage. Cette situation oblige l’homme à s’adapter une fois encore, à être particulièrement créatif !




NOTE D’INTENTION DE L'EPISODE 2

– UN MONDE GIVRE –


Le changement climatique n’est peut-être pas toujours aussi mauvais que ce qu’on nous répète à longueur de journée car il nous pousse à apporter des réponses, ne serait-ce qu’à repenser notre mode de vie, et trouver des initiatives étonnantes et innovantes. Bref, une conception du monde un peu plus positive que la conception occidentale habituelle.

Lors de cette deuxième partie d’expédition, Olivier Pitras et l’équipage du southern star vont traverser le mythique passage du nord ouest. Cette route maritime la plus septentrionale fût une obsession pour des générations de marins depuis Frobisher au XIVe siècle jusqu’à Amundsen, qui en 1903 fût le premier à rejoindre le pacifique par le nord.


Lors de ce long voyage, le navigateur norvégien se rendit compte qu’un itinéraire planifié était illusoire. Seules les eaux que l’été arctique libère de la glace vont décider de la route à suivre. Les bateaux évoluent dans un labyrinthe au grés des ouvertures. C’est la seule méthode encore pratiquée aujourd’hui. Ce périple est une réelle aventure. Le film commence en mer au large de l’île de Baffin. Le southern star avance lentement dans la brume. La mer est calme mais le risque de collision avec un growler garde l’équipage en éveil.

Olivier Pitras connaît bien cet environnement. Il fût le premier skipper français à franchir ce passage en 1999. Il entretient avec cette vaste région une relation passionnelle.

L’arrivée à Pond Inlet est un émerveillement. Ce village inuit situé en face du glacier de l’île Bylotest des plus authentiques.


Cette étape marque le début du passage du nord-ouest. Les habitants accueillent chaleureusement l’équipage et le bateau, objet de curiosité. Rares sont les navires qui croisent dans les environs. Pourtant les choses pourraient changer. En effet, la fonte de la banquise en été ainsi que la hausse du prix du pétrole vont voir de gros navires croiser par cette route.

Olivier et son équipage vont à la rencontre de la population pour débattre du problème. Le gouvernement canadien essaye de garder la souveraineté de ses eaux territoriales mais les pressions américaines et européennes sont fortes pour exploiter cette route nécessaire à l’acheminement du pétrole d’Alaska. Les Inuits du Nunavut qui ont un gouvernement autonome depuis 1999 veulent s’impliquer dans les choix qui les concernent.

De ces rencontres, la caméra captera la dualité d’une population qui veut garder ses traditions( sa langue, la pêche, la chasse ) mais qui aspire aussi à plus de confort et de modernisme.

Impact direct du réchauffement climatique, l’ouverture des routes maritimes du nord apportera des recettes mais aussi un risque de marée noire. Cette dualité nous interpelle sur notre façon de vivre, nos réels besoins…garder sa culture et un niveau de vie décent.


L’étape suivante nous emmène à Gjoa Haven. Pendant la navigation, Olivier nous redira le but de son périple. Pourquoi fait-il tout cela ? Qu’est-ce qui l’attire dans ces contrées inhospitalières.

Quelles leçons tirer des Inuits qui, récemment confrontés au modernisme, ne sont jamais plus heureux que lorsqu’ils sont proches de la nature.

L’arrivée à Gjoa Haven est pleine de symboles. C’est là qu’Amundsen fît escale pendant un hiver lors de sa traversée. Il nomma l’endroit du nom de son bateau. Mais en Inuktituk, la langue des Inuits, ce village est l’eldorado de la chasse et de la pêche, « la ville du gras ». Les Inuits viennent de loin pour jouir de cet endroit. Le pas vers la modernité est rapidement franchi : création d’un golf 18 trous, d’une patinoire, d’une salle de sport…Mais les bénéfices du tourisme restent aléatoires.

Peu de canadiens du sud sont attirés par le grand nord, notamment à cause du prix élevé du voyage. C’est une économie instable.


Olivier et son équipage échangeront sur ces sujets, en abordant le thème des énergies renouvelables. Dans les village Inuits composés en moyenne de 1000 habitants, le diesel est la seule source d’énergie et représente 20% du budget de la communauté. Dans les années 80-90, on a installé des éoliennes mais la rigueur de l’hiver a eu raison du matériel inadapté au climat. La présence d’un technicien de maintenance s’est avérée indispensable.

Une autre tentative a lieu en ce moment. Olivier ira à la rencontre de Jamie Flaherty du Nunavut energy corp. Gjoa haven est une ville pilote en la matière . Il y a aujourd’hui une réelle volonté politique mais aussi l’envie de former des techniciens inuits, jusqu’alors cantonnés aux emplois subalternes.

Le Southern Star reprend sa route au coeur de l’archipel Canadien. Destination : Tuktoyaktuk ( ou simplement « tuk » ) dans les territoires du nord ouest.

Cette communauté est directement victime du réchauffement climatique. Le permafrost ( ou pergélisol ) fond sur une épaisseur de plus en plus importante chaque année. Un groupe de scientifiques Canadiens étudie cette fonte mais envisage également des solutions pour entretenir les routes et les fondations.


Ce programme de recherche dirigé par Sharon Smith et Margo Burgess s’intéresse également à l’érosion côtière, importante à Tuk. Les habitants seront peut-être à l’avenir obligés de quitter leur village. Feront-ils partie des réfugiés climatiques dû au réchauffement ? Patter Nester, ministre de l’environnement du Nunavut nous éclairera sur ces questions…..

L’intêret sera double : Il y aura certes de merveilleuses rencontres dans une région qu’Olivier connaît déjà pour y avoir fait escale en 1999 ( La voie des glaces, éd. transboréales ). Mais l’aventure nautique apportera des moments forts, des moments d’action, dans le récit. Peu de marins se sont risqués dans ces régions : les icebergs, les williwaws ( vents aussi violents que soudains ) ainsi que le brouillard parfois angoissant mettront du piment dans cette aventure. L’équipage aura certainement l’occasion de croiser le chemin de grands mammifères : ours polaires, morses, baleines, etc…

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La mise en image sera soignée. Pas question de coller aux personnages. La camera prendra du recul ( longue focale ) s’attardera sur les visages à l’écoute, les regards émerveillés ou angoissés.

Le panorama exceptionnel de l’arctique nous offrira des respirations contemplatives.

L’idée est avant tout de faire de ce documentaire un bijou visuel, très cinématographique et vivant.

 


Avec des décadrages, défocus, macro, Une vision créative et inédite du voyage. Nous embarquerons à bord une grue légère (ABC Crane) pour des plans pleins de souffle. Nos meilleurs outils seront les décors offerts par la nature, les fabuleuses lumières hyperboréales, la faune et la flore, mais surtout la très grande richesse des personnages.

Quant aux équipiers partenaires, nous nous intéresserons à ceux qui se révèleront être des personnages forts, ceux qui passeront le plus de temps à bord, comme notamment certains équipiers qui vont enchaîner plusieurs étapes. Sinon ils feront office de figurants pour les séquences en haute mer.

Les personnages importants, outre les rencontres aux escales seront bien sur Olivier Pitras et son équipage . Le « personnage » toujours présent, jamais au premier plan sera le Southern star.


L’idée c’est de profiter au maximum de la caméra embarquée qui permettra de tourner en permanence la vie du bord. Quoi qu’il arrive, nous aurons des images de toute l’expédition. Nous privilégierons les séquences « live », les interviews sont in situ, rien n’est figé. Toujours en action, ou largement illustrées.

Pas ou peu de off, sauf si nécessaire pour certaines transitions, voire expliquer ou clarifier le propos.

 

Une série documentaire de 4 X 52 mn

réalisée par Thierry Robert

L'Odyssée climatique du Southern Star

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A l'occasion de l'Année Polaire Internationale, Olivier Pitras, premier navigateur français à avoir traversé l’Océan Glacial Arctique à la voile, et son équipage, embarquent à bord du voilier polaire Southern Star pour un an d'expédition autour de l'Amérique du Nord.

Celle ci lèvera l’ancre de Norvège pour quelques 18 000 miles nautiques, 21 étapes et 1 an de navigation. Au cours de ces étapes nous aborderons différentes thématiques liées au réchauffement climatique. Nous irons observer sur place les réels changements.

Cette odyssée climatique est une aventure humaine hors du commun qui nous emmène au coeur des problématiques liées aux bouleversements actuels du climat.

De l'Arctique aux Tropiques, l’expédition s’est fixée pour objectif d’être une vraie plateforme de réflexion en allant se rendre compte sur place des changements liés au réchauffement climatique. En suivant la chronologie du parcours, l'expédition recueillera à chaque escale le sentiment des populations locales et les scientifiques nous éclaireront sur les enjeux.

Le “Southern Star”, voilier polaire de 24 mètres quitte Tromsø, en Norvège tout là haut bien au delà du cercle polaire. A son bord, un équipage d’une dizaine d’hommes et de femmes, navigateurs de tout horizon. Leur but, s’engager pour la planète et aller à la rencontre des populations pour savoir où chacun en est concernant le changement climatique dont tout les médias parlent. Est-il réel ? Est-il visible ? Est-il irréversible ?

Pour répondre à leurs questions, les experts et les populations locales, nous les appelons les “passeurs de savoir”, ils sont scientifiques, urbanistes, économistes ou simples témoins. En les suivant sur le terrain, ils nous parlent, nous montrent le changement et nous présentent les solutions de demain.

Episode 1 :

Vive le réchauffement climatique


Episode 2 :

Un monde givré


Episode 3 :

Pacific Attitude


Episode 4 :

Politiquement correct ?


4 DVD de 52 mn chacun


Prix du DVD : 14 euros


La série complète :

35 euros (pour 4 DVD)

Une série produite par Paco Fernandez

© Injam Prodution avec la participation Planète Thalassa

Cette série a été sélectionnée en compétition officielle et a remporté des Prix suivants :

 

  1. -Festival MEDITERRANEA ( Festival International de l'image Sous-marine et de l'aventure - Antibes ) - du 25 au 28 Février 2010 - La série L'Odyssée climatique a obtenu le Prix Spécial du Jury.


- FILMAR ( Festival International de la Mer et de ses envionnements - présidé par Patrice Leconte - Hendaye ) - du 2 au 5 Avril 2010 - La série L'Odyssée climatique a obtenu le Grand Prix du Festival ( Jumeaux d'or ) et le Prix de la Ville.

  Voir la série                                                 Voir un extrait                                                    Commander la collectionhttp://filmsdocumentaires.com/films/656-odyssee-climatique-du-southern-starhttp://filmsdocumentaires.com/films/656-odyssee-climatique-du-southern-starcommandes.htmlshapeimage_4_link_0shapeimage_4_link_1shapeimage_4_link_2

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