Catalogue Arts, Cinéma et Spectacles

Gérard Mortier nous parle de de sa vocation, l’opéra. Pour lui l’opéra c’est bien plus qu’une belle mise en scène, de bons chanteurs ou une mémorable musique, c’est aussi le reflet de notre société, un outil de réflexion sur notre environnement et notre quotidien.

Depuis 2015, la chorégraphe Nadia Vadori-Gauthier danse chaque jour avec la ville, les gens, les matériaux, les environnements. Ses danses parfois traversées d’échos de la violence de l’actualité, distillent une douceur infinitésimale dans les espaces du quotidien.

Ne croyez surtout pas que je hurle est un poignant journal intime constitué d’extraits de plus de 400 films et de la parole en voix off du réalisateur. Une expérience cinématographique fascinante.
 

Qu’ont en commun des artistes devenus mondialement connus, emportant la langue française sur des tempos, des rythmes ou des mélodies entêtantes sur lesquelles nous dansons toujours ? Une plume qui écrivait pour chacun d’eux : celle d’Etienne Roda-Gil.

Venise l’insolente nous embarque de canaux en canaux, de palazzo en palazzo, dans la magie de cette ville labyrinthique et la restitue dans ce qu’elle était, flamboyante et unique.

Chanteuse, auteure, compositrice, nous suivons Giovanna Marini dans son quotidien, en concert et à l’école qu’elle a fondée à Rome. Pour cette femme d’exception, éprise de culture, transmettre le savoir populaire est une nécessité, un ferment de la vie citoyenne.

Frank Kupka est le premier artiste à exposer une peinture abstraite en 1912. Pourtant, c’est Kandinsky, Mondrian ou encore Malevitch qui se sont plus généralement imposés comme les pionniers de l’abstraction. 

Nos défaites dresse un portrait de notre rapport à la politique, grâce à un jeu de réinterprétation par des lycéens d’extraits issus du cinéma post-68, associé à des interviews de ces jeunes acteurs.

À l’occasion des 500 ans de la mort de Léonard de Vinci, deux films pour mieux comprendre le peintre et ses chefs-d’oeuvre, sa pratique artistique et sa technique picturale.

Construits fréquemment sous le règne de Louis Philippe qui avait reconquit une impressionnante partie du royaume de France, fortifiés au XIVe siècle pour faire face à l’apparition des canons, l'utilité militaire des châteaux forts a diminué au profit d’une recherche d’esthétisme.