Esther Hoffenberg débute en co-réalisant avec Myriam Abramowicz « Comme si c’était hier » (Belgique, 1980). Devenue productrice, elle revient à la réalisation en 2005 avec
« Les deux vies d’Eva », une évocation du destin de sa mère, produit par Yaël Fogiel, suivi par « Discorama, signé Glaser » (Etoile de la Scam 2008), film qui relie l’Histoire d’une émission de variété à la personnalité engagée et visionnaire de son animatrice. « Au pays du nucléaire » arpente le territoire de la Hague qui concentre les enjeux du nucléaire. Suivent deux portraits de femmes singulières, avant-gardistes : « Violette Leduc, la chasse à l’amour » (Prix Françoise Giroud du meilleur portait télévisuel 2016), prix du meilleur documentaire au FFGL de Turin et à « Some prefer cake » de Bologne, suivi de
« Bernadette Lafont, et Dieu créa la femme libre », sélectionné au Festival de Cannes (Cannes Classics) en 2016.
L’ensemble de ses films ont été présentés au Festival Itinérances d'Alès en 2017.
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