Catherine Page et Alain Massonneau

Catherine Page et Alain Massonneau

Catherine Page a étudié les Lettres à l’Université Stendhal de Grenoble et obtenu le Master 2 de Réalisation de documentaire de création - Ardèche Image (Lussas)/Université Stendhal.
Elle réalise des films, écrit des textes, prête sa voix pour les interpréter, donne des cours de cinéma...
Réalisation :
- « Chacun de vous craindra son père et sa mère »
- « Otto-portrait. Mars 2003 »
- « En-Quêtes »
- « La rue est dans la nuit comme une déchirure »
- « L’Amour qui meut le soleil et les autres étoiles »
Texte et interprétation :
- « Et nous sortîmes par là pour revoir les étoiles », de Alain Massonneau.
Pièce de théâtre :
- « Et chercher sur la terre un endroit écarté »

Alain Massonneau, après un passage par la photographie, suit des stages d’art dramatique avec Georges Lavaudant et Ariel Garcia-Valdès.
En 1977 il réalise son premier film, un long métrage expérimental, Passage à Mirefleur, et partage l’affiche avec Jean-Luc Godard (qui l’aide lors de son passage à Grenoble), Marguerite Duras, Jean- Marie Straub et Danièle Huillet, Jean-Daniel Pollet, et Renaud Victor, au festival de Cinéma Différent de Digne.
En 1981 il réalise un documentaire sur un Hospice de l’Isère, 10°5 à l’ombre, qui provoque l’enthousiasme de Nagisa Oshima, alors Président du festival du Cinéma du Réel de Paris où le film est présenté.
Il obtient plus tard le prix du jury du Festival de Clermont-Ferrand pour un court-métrage de fiction, Peine perdue.
Il a travaillé régulièrement pour le cinéma et la télévision.
Il réalise en 2006 un film autour de la danse du chorégraphe Jean-Claude Gallotta, Et nous sortîmes par là pour revoir les étoiles, sur un texte de Catherine Page.
Il coréalise avec Catherine Page en 2007 La rue est comme une déchirure, un film sur des chômeurs longue durée.

Films de Catherine Page et Alain Massonneau

1 Film
L'amour qui meut le soleil et les autres étoiles

L'amour qui meut le soleil et les autres étoiles DVD

Une réalisatrice misanthrope et pessimiste qui filme le réel pour y trouver des raisons d’aimer les gens et le monde, des raisons de ne pas désespérer, a rencontré sur le tournage de son précédent film documentaire une jeune femme de son âge, Céline, qui s’apprête à prononcer des vœux définitifs dans la congrégation des Petites sœurs de l’ouvrier, pour apprendre à aimer, dit-elle.