Régis Caël

Janvier 2000, Place Stanislas, une équipe de tournage refilme le premier plan de l’histoire du cinéma en Lorraine... ... La caméra tombe en panne. Sa réparation chez un étrange horloger nous emmène, au gré du temps et de la pellicule, dans le quotidien de la Lorraine du 20ème siècle.

Tom, un soldat américain de la Grande Guerre, repose au cimetière de Romagne-sous-Montfaucon en Meuse. Le temps d’un film, Tom nous raconte sa guerre. Il nous plonge dans son univers et nous amène à lire les archives différemment, à nous éloigner des champs de batailles pour explorer le paysage actuel à la recherche d’une « humanité » laissée par ces milliers d’Américains débarqués en Lorraine de 1917 à 1921.

À la guerre, ne meurent pas que des hommes. À la guerre meurent des mémoires. Quand un village disparaît, quand un lieu change d’aspect, ce sont des milliers d’années de quotidien, de vie, qui sombrent à tout jamais. Honorer des morts, ce n’est pas honorer la guerre : c’est un passé qui interpelle le présent. Ce film tente de conserver une trace, il donne la parole à ceux qui ont vécu les deux guerres pour ne jamais oublier.

Ce film met en scène et illustre, par deux exemples, les recommandations de l’A.N.A.E.S, concernant la prise en charge des adolescents suicidaires. Il s’inscrit comme un outil d’information et de formation des personnes concernées par ce problème actuel de santé publique.

Depuis sa création, la place Stanislas est une agora au cœur de Nancy.
Des petits souvenirs aux grands moments, des balayeurs de la place au Pape Jean-Paul II, en passant par le Tour de France, la libération ou Saint-Nicolas, cette scène de toutes les exhibitions a été, et reste toujours, un formidable décor pour les caméras et les appareils photographiques...

Ce documentaire en six partie retrace l’histoire du charbon en Lorraine. Il réunit les acteurs actuels et passés, les témoins de l’histoire de la mine. Des gens qui se connaissent d’autres qui se sont opposés ou ignorés se retrouvent dans une fête populaire traditionnelle. 

Les âmes de Verdun - 4e épisode
Qui connaît le Général Estienne ? Illustre inconnu, c’est pourtant lui qui eut l’idée de mettre des roues et un blindage autour du canon. Il invente le char d’assaut.

Moyen-métrage de Régis Caël sur un scénario de Régis Latouche
avec : 
Vincent Birckel, Serge Etienne et Delphine Mangeot

Les âmes de Verdun - 3e épisode
Paris bombardé. On parle d’avions invisibles, de « Grosse Bertha ». De nos jours, un homme essaie de retrouver la part de légende et de réalité.

Ils sont instituteurs, paysans, employés de mairie, universitaires, ou retraités... 
Ils viennent de tous les horizons et sont des milliers à s'investir chaque jour pour leur journal, l'Est Républicain.