Ce portrait intime du plus grand chorégraphe de l’Histoire de la Danse laisse la part belle aux confidences, mais aussi aux moments de silence passés en sa compagnie, à ces instants magiques où une âme se dévoile dans un sourire ou un regard complice.
“MAURICE” part à la redécouverte de Béjart, jeune homme pressé de soixante-dix ans toujours aux prises avec le Désir et la Création, et laisse se dessiner ses doutes, ses angoisses et ses rêves. On y parle de vieillesse, de mort, d’amour et de passion.
Par petites touches successives, le film tisse le portrait de cet homme solitaire, ce “savant fou qui passe son temps à envoyer des fusées dans la Lune...” , laissant Maurice se dévoiler de lui-même avec simplicité, au risque de paraître fragile.
Il a révolutionné le monde de la danse et s’est imposé comme l’un des artistes incontournables du XXème siècle. Mais qui était véritablement Serge Lifar, ce jeune Ukrainien né en 1905 à Kiev ?
Son rêve à lui raconte l'histoire de ces garçons qui ont choisi de consacrer leur vie à la danse classique.
Son rêve à lui raconte l'histoire de ces garçons qui ont choisi de consacrer leur vie à la danse classique. À travers la vie quotidienne de trois étoiles en herbe et sous le regard expert de Patrick Dupond, vous découvrirez les différentes étapes fondamentales de l'apprentissage d'une discipline encore sujette à de nombreux préjugés.
C'est l'histoire d'un bal. D'un grand bal. Chaque été, plus de deux mille personnes affluent de toute l’Europe dans un coin de campagne française. Pendant 7 jours et 8 nuits, ils dansent encore et encore...
C'est le jour du concours. Les aspirants cinéastes franchissent le lourd portail de la grande école pour la première, et peut-être, la dernière fois. Chacun rêve de cinéma, mais aussi de réussite. Tous les espoirs sont permis, toutes les angoisses aussi.
Dans le Donbass, région de l'est de l'Ukraine, une guerre hybride mêle conflit armé ouvert, crimes et saccages perpétrés par des gangs séparatistes. Dans le Donbass, la guerre s'appelle la paix, la propagande est érigée en vérité et la haine prétend être l’amour.
Dans une ville de grandes tensions religieuses et identitaires, l’existence même d’un lieu ouvert à toutes les cultures et tous les imaginaires est en soi un combat politique. C’est celui de Lia Van Leer, la fondatrice de la Cinémathèque de Jérusalem.
Le football à Marseille sert de toile de fond à cette comédie populaire chantée et débridée tournée au cœur des années 30 et du Front populaire. Attention, dans ce film bon enfant, l’insouciance et la joie de vivre sont contagieux. Il va y avoir du sport !!!