Doriane Films

LE DVD : 5 films de Vincent Barré et Pierre Creton + 1 film de Vincent Barré.
LE LIVRE :

« Le détour, c’est le passage » texte de Cyril Neyrat + Œuvres de Vincent Barré + Œuvres de Pierre Creton + Œuvres de Vincent Barré et Pierre Creton.

Un village au loin, en bord de mer, où Internet est arrivé. Les désirs et les amours contrariés de Nana et sa bande vont et viennent au rythme des clics comme au rythme des marées, dans des situations aussi irréalistes et farfelues que réelles et contemporaines. 
 

En 1940, Natalia, fille d'immigrés juifs polonais, rêve d'etre comédienne. Elle devient la maitresse d'un metteur en scène important, qui lui procure de faux papiers et lui donne un rôle. Mais, reconnue et dénoncée, elle est envoyée dans un camp de concentration.


 

Bigger, un jeune homme noir, est engagé comme chauffeur par une famille blanche. Sa vie prend un mauvais tournant lorsqu'il tue accidentellement Mary. Une fatale chasse à l'homme l'attend alors dans les bas quartiers de la ville.

Exilé républicain à Bobigny, Daniel Serrano se bat depuis son pavillon de banlieue pour réhabiliter la mémoire de son frère Eudaldo, fusillé en 1941 à l’issue de la Guerre Civile espagnole.

Julie est employée dans une briqueterie. Afin de pouvoir élever seule son enfant, elle a interrompu ses études mais continue de préparer le soir un examen. Elle entretient une liaison avec son contremaître, János.

Le premier message de New York au reste du monde fut sa musique, riche des influences européennes et africaines importées des immigrants venus construire le nouveau continent avec, souvent, leur culture pour unique bagage.

Manhattan. L’île de tous les possibles ; l’emblème de l’Amérique qui conquiert le monde, celle des grandes fortunes et des buildings dont la cîme rejoint le ciel pour tutoyer les étoiles, une symphonie de béton et d’acier a poussé malgré les crises et les guerres sur le vieux continent.

Dans la classe, Patapouf est un Ours trop sérieux : deux cancres le font punir. Plutôt que de s’ennuyer au coin, il décide de faire l’école buissonnière. 

Nice Time, c'est la fièvre du samedi soir à Picadilly Circus. 
Le film réside essentiellement en jeux de regards qui cherchent à capter tout ce qu'il y a à voir. Il témoigne à merveille de la sur-stimulation sensorielle propre à la vie urbaine, surtout la nuit. Dans la tradition du "candid eye", la caméra, avec une longue focale, saisit tout ce qu'elle peut, avec une prédilection pour les regards et les gestes d'amour.