Les rivieres gourmandes
 
 

  © Filmsdocumentaires.com     -     Avec le soutien du CNC      -    Réalisation : Sam Lebeau     -     Conditions générales de ventes    -    Mentions légales             

  1. S’inscrire à la Newsletter

FILMS&DOCUMENTAIRES.COM

Un autre regard sur le monde

Une série de 15 X 26 mn

Cinq rivières
La Seine Partagée
 (4 X 26 mn)
l’Ill secrète
 (2 X 26 mn)
A fleur de Meuse  
(4 X 26 mn)
Le Doubs rêveur 
 (3 X 26 mn)
La Saône étoilée 
 (2 X 26 mn)



© Seppia & FRANCE 3


http://filmsdocumentaires.com/films/la-seine-partagee-episode-1http://filmsdocumentaires.com/films/l-ill-secrete-episode-1http://filmsdocumentaires.com/films/les-rivieres-gourmandes-la-meusehttp://filmsdocumentaires.com/films/le-doubs-reveur-1http://www.filmsdocumentaires.com/films/la-saoneshapeimage_2_link_0shapeimage_2_link_1shapeimage_2_link_2shapeimage_2_link_3shapeimage_2_link_4
Les Rivières Gourmandes 
Une série de 15 X 26mn



MINI-SERIE 1 : « LA SEINE PARTAGEE » - 4x26’


La Seine est une enfant jusqu’à Paris : timide et subtile, elle gagne à être connue. À Paris, la Seine devient une dame dont le charme inonde la capitale. Mais après Paris, la revoilà demoiselle charmante et capricieuse, se lovant avec volupté entre des vallées verdoyantes pour finir par plonger dans la mer d’un bond vigoureux.


Episode 1 : De Saint Germain sur Seine (source de la Seine) à Troyes

Ce premier épisode est une balade de 120 km depuis la source de la Seine jusqu’à l’arrivée à Troyes, en traversant la Bourgogne et la Champagne.

Saint Germain sur Seine… Les sources de la Seine sont ici.



Episode 2 : De Troyes à Montereau Fault-Yonne 

Sur le parcours qui de Troyes nous conduit à l’orée de la forêt de Fontainebleau, les surprises et les contrastes sont nombreux.


Mais ici ,à Troyes, nous perdons la trace de notre héroïne. L’eau qui pendant des siècles a alimenté tanneries, teintureries et moulins, a disparu sous les rues et les places.

L’héritage de la cité des comtes de champagne transmis au visiteur du 21e siècle ce sont aussi 9000m2 de verrières qui en font la ville sainte du vitrail. Alain Vinum est le Maître verrier, à qui l’on a confié les clés de presque toutes les églises de Troyes.

L’autre spécialité de Troyes est bien sûr l’andouillette. Celle de M. Lemelle, dressée main et cuite au court-bouillon pendant 5 heures, a été diplômée par l’Association Amicale des Amateurs d’Andouillette Authentique.


À partir de Nogent, la Seine redevient navigable, mais les mariniers sont rares, une cinquantaine sur cette partie de Seine, alors qu’une péniche pourrait transporter l’équivalent de 25 camions…

La seine nous emmène alors jusqu’à Montereau, où le musée de la faïence retrace 250 ans d’activité à travers 400 pièces de styles différents dont le bleu de Montereau. Michel Audurier, après un long apprentissage, a repris le flambeau de cet art ancien.

Toujours à Montereau, Elie Arbel, chef et propriétaire du restaurant Richebourg, vous fait entrer chez lui en invité pour vous faire découvrir une cuisine de goût, d’intuition et de terroir.



Episode 3 : A nous deux, Paris ! 

Les berges de Seine en Ile de France nous offre des rencontres passionnantes.

Commençons à Melun… Le brie de Melun est le plus vieux fromage de France, mais, paradoxe, il n’y a aucun producteur dans la cité. Il est vendu ici, il porte le nom de la ville, mais il est fabriqué à une quarantaine de kilomètres de là, chez Jean-Claude Pette.


Du côté de Seine Port, à 20 km à vol d’oiseau de Paris, on a par moments le sentiment d’être dans la plus éloignée des campagnes. Et c’est au rythme de la navigation fluviale et marchande que se fait l’arrivée à Paris.

Allez, un restaurant pour commencer ? À deux pas de la station de métro Châtelet les Halles et à l’ombre de l’église Saint-Eustache avec une restauratrice théâtrale, une ambiance débridée, un air canaille, Paris comme on l’imagine...


Réveil à cinq heures du matin pour un rendez-vous en bord de Seine avec l’un des personnages les plus originaux de la capitale, Philippe Picard, LE pêcheur de la capitale.

Et après les anecdotes du pêcheur, un plongeon dans l’histoire de France : Le Louvre, la Conciergerie, Notre-Dame de Paris…

Sur l’île Saint-Louis, Catherine Domain organise tous les premiers mercredis du mois un apéritif devant sa librairie. Elle réunit les amoureux de l’eau, des îles et des voyages en cargos, mais aussi son voisin, Georges Moustaki …


Episode 4 : De Château-Gaillon à Honfleur 

Il n’y a qu’à regarder une carte géographique pour voir à quel point la Seine s’enroule et se détend tour à tour sur la fin de son parcours. Au début, ce sont les paysages si chers aux Impressionnistes, et la Seine elle-même, source d’inspiration, avec ses remous et ses lumière changeant au fil du jour.


Nous partons du Château-Gaillon, grande bâtisse que la Révolution a vidé de ses richesses, pour nous rendre à Giverny, dans le domaine de Claude Monet : un jardin luxuriant au milieu duquel s’épanouit sa belle maison.



À Rouen commence la mer. Ou, du moins, la Seine maritime. La ville de la vierge guerrière Jeanne d’Arc est aujourd’hui le cinquième port maritime de France. Les rouennais ont envie de faire revivre une partie de leur tradition : la région, et le Port, financent de petites entreprises de restauration de vieux bateaux et de métiers disparus. Le président du Port, Ghislain de Boissieu, nous raconte ce renouveau.


Grâce à lui, nous prenons « le large » vers les boucles de la Seine, à bord d’une vedette pilotée par le commandant Hervé Fèvre, le passeur qui guide les cargos à travers les méandres du fleuve. Il connaît la Seine par cœur.

Il nous dépose à Caudebec en Cau, un gros bourg qui fût le florissant pourvoyeur de chapeaux à la cour de France. Où l’on nous a vivement conseillé un restaurant, le Normandie, pour goûter aux spécialités du terroir : cidre, calvados, beurre et fromages.


Lorsqu’on reprend la navigation, les notes de Satie résonnent de plus en plus claires : il est là-bas, « Rive Gauche », au détour d’un bras du fleuve, à Honfleur, ce petit port plein de coquetterie que Corot et Courbet ont peint en couleurs vives, dans sa drôle de maison.


Le jour de la fête des Marins, on embarque de la petite cabane aux balises –promue entre-temps Maison des Marins- sur une vedette de la marine Française. Pour aller déposer une gerbe dans l’estuaire à la mémoire des marins disparus en mer.

C’est au son des sirènes de tous les bateaux d’Honfleur que se termine ce film.






MINI-SERIE 2 : « L’ILL SECRETE » - 2x26’


Bien plus que le Rhin majestueux, l’Ill est la rivière mère de l’Alsace. Sur les 208 kilomètres de son parcours, elle porte la vie qui vient, la vie qui va… Une rivière qui nous offre le plus savoureux des voyages intérieurs…

En deux films de 26 minutes, l’écrivain et réalisateur Francis Guthleben est parti à la redécouverte de l’Alsace en empruntant le cours de l’Ill. Au fil des 200 kilomètres de la rivière, les deux films offrent une trentaine de rencontres étonnantes, attachantes, drôles…


- Sous l’imposant massif du Glaserberg se niche Winkel, dans le Haut-Rhin. Là Anne Rochette, artiste-plasticienne, a imaginé et dessiné le nouveau site naturel de la source  de l’Ill …

- A Oltingue, Alphonse Meister, en 1952, a eu l’idée d’acheter un engin fabuleux pour l’époque : un Mercedes Unimog. Il raconte l’histoire de la mécanisation agricole et de la fin des moulins, assis au volant de son engin…

- Suzanne Roth, vit à Muespach-le-Haut. Parfois surnommée l’ethnologue culinaire de l’Alsace, elle a publié cinq ouvrages consacrés aux plus vieilles recettes régionales…

- Autre élément du patrimoine sundgauvien… les sorcières ! Un médecin de Hirsingue, Cyrille Kaszuk s’est intéressé à elles au point de leur consacrer un livre au terme d’une curieuse expérience personnelle…

- En compagnie d’un guide de l’association « Les traits de l’Ill », on pourra vers Altkirch observer le plus étonnant oiseau de la rivière. A croire qu’il se prend pour le Christ lorsqu’il marche sur l’eau…

- A Ensisheim, Jean-Paul Fuhry, 72 ans, qui dès les années 50 photographiait en noir et blanc, avec des flashes bricolés, toutes les sculptures romanes des églises d'alsace, nous explique en détail le pouvoir vibratoire, la puissance des courants telluriques qui les traversent, leurs bienfaits et aussi leurs méfaits…

- Alfred Herrmann, 80 ans, est sans doute le plus fidèle des pêcheurs de l’Ill. Les anguilles qu’il attrapera ce soir-là deviendront des « anguilles au foin » préparés par Marc Haeberlin à Illhauesern.

- Jean-François Dusart, se passionne toujours pour les plats à base de plantes naturelles qu’il déniche dans le Ried. Alors pourquoi pas une bonne soupe de racines…

- Le dernier moulin à eau en activité du Ried est à Ebersmunster. Sous le regard bienveillant de Pierre Kircher, 80 ans, et sous la conduite de son gendre, on fait encore de la farine de blé à la meule.

- Avec leur fils Christophe… ils habitent depuis quatre ans le Christophe, une des 28 péniches amarrées au bassin des Remparts à Strasbourg, Lucien est boulanger. Sonia travaille dans un magasin d’alimentation…

- Charles Clauss propriétaire du "Moulin de la Wantzenau" connaît encore l’histoire du "Poussin de la Wantzenau" qui remonte certainement avant 1900…


Après la Wantzenau, la rivière plonge encore dans les espaces bucoliques qu’elle aime tant, comme pour une ultime rêverie avant le grand abandon, dans le Rhin, à Gambsheim.




MINI-SERIE 3 : « A FLEUR DE MEUSE » - 4x26’


Rares sont les rivières qui ont côtoyé autant d’écrivains : le parcours débute avec les fameux frères Goncourt, originaires d’un village non loin de Neufchâteau. A Commercy, Marcel Proust a immortalisé le lieu avec sa madeleine, nous entraînant inévitablement le long de la rivière à la « Recherche du temps perdu ». Enfin, en débarquant à Charleville, patrie de Rimbaud, des sarabandes de vers reviennent en mémoire. "J'étais insoucieux de tous les équipages (...), les fleuves m'ont laissé descendre où je voulais…". Un parcours où Verdun et Sedan jouent également de toute la gamme des émotions, jusqu’à ce que la Meuse se fasse ardente et sauvage au contact de la forêt ardennaise et continue sa route en Belgique, puis en Hollande, où elle donne presque la main au Rhin pour se jeter dans la Mer du Nord.



Episode 1 : de Langres à Verdun…

La Meuse prend source à seulement 409 mètres d’altitude, sur le plateau de Langres, plus précisément à Pouilly-en-Bassigny, en Haute-Marne. Ruisselet sans prétention, la Meuse se gonfle des eaux d’une douzaine d’affluents croisés tout au long de ses cinquante premiers kilomètres.


À deux pas de la source, la fromagerie Schertenleib, perpétue une saveur remontant au 18e siècle : le fromage de Langres à la robe orangée est élaboré à partir de lait entier de vache collecté dans une zone d’appellation d’origine contrôlée.


Pays de saveurs mais aussi de savoirs faire : la région de Fayl-Billot compte l’unique école française d’osiériculture et de vannerie. Claude Marchal cultive, sélectionne et travaille l’osier de façon artisanale.


À Nogent, dans son atelier au fond du jardin ou encore dans sa forge au grenier, Emile Drouhin est le dernier artisan de coutellerie artisanale, meilleur ouvrier de France issu de quatre générations de couteliers.


Les fondeurs de cloches du Bassigny lorrain font aujourd’hui partie du patrimoine. Apparus en Europe dès la fin du 13e siècle, ils étaient 1400 fondeurs au 18e siècle et fondaient des cloches à travers toute l’Europe. À Robécourt, Maurice Thouvenin se passionne pour l‘histoire de ses « saintiers » et a mis en œuvre la restauration d’une ancienne fonderie.


Aux confins de la Meuse et des Vosges, sur la rive gauche de la rivière s’étendent la cité médiévale de Vaucouleurs et le village natal de Jeanne d’Arc, Domrémy.

C’est au présent que Julien Gibbes conjugue les produits locaux : bergamote fraîche travaillée sucrée ou salée, truffes ou escargots sont à la base de créations culinaires du Relais de la Poste à Vaucouleurs.


Episode 2 : de Verdun à Givet…

Aujourd’hui ville de la paix grâce son Centre Mondial de la Paix, Verdun invite à la flânerie sur les bords de Meuse canalisée dans la traversée de la ville. Tout près du quai de Londres, Alain Hamard tient un estaminet où la boisson de référence est la bière.

Un peu plus loin, la confiserie Braquier perpétue la tradition de la dragée, dont l’histoire raconte qu’elle fut inventée par un droguiste verdunois en 1220.


Marché gaulois puis poste romain installé en berge de Meuse, Mouzon est aujourd’hui installé sur une île formée par la Meuse et le canal de l’Est. Son musée atelier du feutre, unique en France, met en œuvre des procédés de fabrication manuelle et industrielle dans les anciennes écuries abbatiales.


Les villes de Charleville et Mézières sont lovées chacune dans une boucle de la Meuse. La première comme taillée au cordeau avec ses façades bourgeoises, la seconde militaire aux maisons de schiste accolées. La maison natale de Rimbaud est située sur les berges de la Meuse …

Dégustons alors une des spécialités ardennaises au Quai Rimbaud : l’assiette de T’chu nous : boudin blanc d’Haybes.

Toujours dans la ville, « Les petits comédiens de chiffon », troupe amateur en 1941, a engendré un véritable mouvement autour de la marionnette : festival mondial, École Supérieure Nationale des Arts de la Marionnette.


Dans cette vallée aujourd’hui industrielle, hier pays de fonderies, à Laifour, nous rencontrons Hervé Tonglet, sculpteur statuaire qui travaille la pierre bleue de Givet et le bronze.


Fumay, ancienne capitale de l’ardoise est connue pour ses ardoises violettes alignées sur les bords de la Meuse. On y trouve d’ailleurs André Joris, un de ces artisans fendeurs d’ardoises.

À Haybes, surnommée, Haybes-la–Jolie, rencontre avec M. Roffidal : ce charcutier traditionnel élabore des produits liés au terroir ardennais : le jambon d’Ardennes, le boudin aux oignons.


C’est à Givet que la Meuse achève ses derniers méandres français et prend la direction de Dinant la Belge.



Episode 3 : de Givet à Maastricht…

Le Voyage continue le long de la Meuse, à travers la Belgique et les Pays-Bas. Nous sommes en Europe et pourtant, chaque pays conserve sa propre identité. Au fil des frontières, les paysages changent.


De Givet, dernière ville française située au bord de la Meuse, nous prenons le bateau pour nous rendre à Dinant. Ici, la vallée est si étroite qu’aucune route, aucun chemin de fer ne peut longer le fleuve. La solution la plus confortable reste de suivre le fil de l’eau.

Adolphe Sax, l’inventeur du saxophone, est originaire du pays.

Une imposante citadelle surplombe Dinant ; comme dans de nombreuses autres villes du sud de la Belgique.


Nous voici dans la maison Jacobs ; au programme, dégustation des spécialités locales, les couques. Des gâteaux au miel cuits dans des moules en bois ou en métal.

Revigorés, nous voilà en route pour la grotte “La Merveilleuse”, l’une des nombreuses grottes ouvertes au public dans la région.

Et pour finir en beauté, rien de tel qu’une délicieuse bière brune belge : l’occasion de se pencher sur la fabrication de ce puissant breuvage.



Episode 4 : de Maastricht à Rotterdam…

Notre périple commence par un trajet à vélo qui nous fait traverser la Meuse pour rejoindre les Pays-Bas.

A peine le fleuve franchi, on sait déjà que l’on se trouve en Hollande. Devant un café typiquement hollandais, des familles entières abandonnent leurs vélos pour s’installer en terrasse.


C’est en 1992 que Maastricht devient célèbre, grâce aux accords qui y sont signés et qui portent son nom. Entre ses murs, l’Europe a fait un grand pas en avant.


De Maastricht jusqu’à Roermond, la Meuse tient lieu de frontière entre la Belgique et les Pays-Bas. Sur le chemin, le fleuve s’étale pour former les étangs mosans, un gigantesque plan d’eau comportant de nombreux canaux où l’on peut pratiquer toutes sortes de sports nautiques.

Roermond est une ville épiscopale marquée par deux églises de caractère : l’Eglise Notre Dame et la Cathédrale Saint Christophe.

L’une des spécialités locales porte d’ailleurs le nom de “Christoffeltartjes”.


Plus loin, la Meuse vient effleurer Venlo et son célèbre hôtel de ville. Mais nous préférons pousser jusqu’à Arcen. Chaque année, à l’Ascension, la ville accueille la fête de l’asperge.

Ici, ce légume fraîchement récolté est décliné dans toutes ses variations.


A bord d’un bateau à moteur, nous quittons Dordrecht à destination du port de Rotterdam. Avec ses gratte-ciel et ses immenses installations portuaires, la ville offre un contraste saisissant avec les paisibles campagnes hollandaises.

La Meuse nous entraîne alors au large des côtes hollandaises.





MINI-SERIE 4 : « LE DOUBS REVEUR » - 3x26’


Long de 430 kilomètres, le Doubs est une rivière étonnante, offrant des méandres et des lacets comme s’il ne voulait jamais quitter ses hauteurs. Si le Doubs avait des ailes, il ne parcourrait que 90 km de sa source, à Mouthe à 910 mètres d’altitude, jusqu’à sa rencontre avec la Saône à Verdun-sur-le-Doubs.

En trois films de 26 minutes, l’écrivain et réalisateur Francis Guthleben est parti à la découverte du Doubs. Depuis sa source dans le Jura, jusqu’à la rencontre avec la Saône, il a observé du ciel et de la terre hommes et paysages, nature, patrimoine et produits du terroir.

Le constat est là, comme un prolongement de la géographie du Doubs, de nombreux hommes et femmes d’ici sont animés par des idéaux et une foi indéfectible en des projets, des causes, des convictions…


Une leçon de géographie et de vie.

Une succession d’instants insolites et émouvants …


Episode 1 : De Mouthe à Villers-le-lac…

La Chapelle-des-Bois, Mouthe, Pontarlier, le lac de Saint-Point, Labergement-Sainte-Marie, Morteau, le château de Joux, Déservillers, Vuillafans, Ornans, Montbenoit, Villers-le-Lac …

À la Chapelle-des-Bois, Marcel Michel est l’unique producteur français d’eau de vie de gentiane.

Au Cernois-Veuillet, Claude et Gilles Malloire élèvent 45 chiens de traîneaux, ce qui en fait la plus grande meute d’Europe.

À Desservillers, André Jacques travaille comme fromager de la plus vieille fromagerie de comté de France. Elle date de 1273.

Sur les hauteurs de Morteau, Christian et Nicole Monnet, sont des idéalistes d’un certain art de vivre et d’une certaine convivialité : « Nous on ne cherche pas à s’enrichir, mais à faire plaisir ».


Episode 2 : De Villers-le-Lac à Besançon…

Villers-le-Lac, Le Saut du Doubs, Goumois, Saint-Hippolyte, Clerval, Le château de Belvoir, Montbéliard, L’Isle-sur-le-Doubs, Baume-les-Dames, Ougney-la-Roche, Vaire d’Arcier, Corcelle, Besançon…

Près de Goumois, Pierre Choulet se recueille dans la chapelle, construite par ses aïeux en 1482…` A Ougney-la-Roche, deux Hollandais, tombés amoureux du coin lors d’un passage en croisière fluviale, ont crée le gîte « Chez soi ».

A Corcelle, Josiane Duchaine élève des escargots depuis 13 ans au bord du Doubs


Episode 3 : De Besançon à Verdun-sur-le-Doubs…

Besançon, Rochefort-sur-Nenon, Dôle, Chaussin, Chateau-Châlon, Navilly, Arc-et-Senans, Verdun-sur-le-Doubs…

À Besançon, Jocelyne Lotz, une étoile Michelin, évoque son chemin personnel douloureux avant de trouver sa place et son bonheur autour des fourneaux.

À Rochefort-sur-Nenon, rencontre avec Jossie Verkerk. Elle a acheté un navire marchand pour le transformer en bateau de plaisance.

À Dôle, le cuisinier Joël Cesari, jurassien par son père, corse par sa mère, se définit en disant : « J’aime les goûts, les saveurs, le respects des saveurs ».



MINI-SERIE 5 « LA SAÔNE ETOILEE» - 2x26’


L’expression « Saône  étoilée » a surgi naturellement, tant il apparaît que la rivière porte une étoile, signe de son excellence, mais aussi, signe du carrefour en étoile qu’elle propose dans de nombreux domaines, géographique, humain, historique.


Des images défilent, des vues aériennes de la rivière, des vues de gens, des pêcheurs, des bateaux de plaisance… en un joyeux kaléidoscope.


Et maintenant la Saône dans son visage de l’instant… Les rencontres se succèdent :


Deux religieuses se promènent dans les Vosges, dans le petit village de Vioménil.


Des embouteillages de bateaux de plaisance devant des écluses, des pêcheurs alignés comme à la parade… La douceur des bords de Saône est devenue un haut-lieu touristique à Scey-sur-Saône, une douceur racontée par Sophie Devaux et son Poney club.


On retrouve une belle tablée, à Fougerolles, à 25 kilomètres à l’est de la Saône. Le père Rota aime ces rencontres avec les anciens. Cuisinier, il met la cerise à toutes les sauces, comme si elle était sa madeleine de Proust. Là, il prépare une terrine de canard aux cerises.


Il est midi, l’heure du repas pour les enfants de l’école d’Aboncourt-Gesincourt, une petite commune au milieu d’une campagne vallonnée. Cas unique en France, la ferme-auberge « La Ludore » est la cantine scolaire de cette zone rurale. L’idée en vient à Anne-Françoise Garret et à son associée Laurence Collet. Très engagées dans la vie locale et associative, elles ont proposé cette solution pour sauver les deux classes de l’école du village… Les enfants ne mangent que des produits de la ferme, principalement du bio.


Le château de Vauchou est devenu un restaurant. Un chef, Jean Michel Turin, s’y bat depuis des années pour promouvoir la cuisine régionale.


Même Paul Bocuse nous raconte sa Saône.

Les Rivières Gourmandes 
Une série en 15 épisodes