Au cœur du magnifique décor de la Citadelle de Besançon, classé par l’Unesco, se trouve le jardin zoologique du Muséum d’histoire naturelle. Un lieu unique et fascinant, où nous avons suivi, pendant plusieurs mois l’équipe de passionnés qui le fait vivre.

De la surface à + ou – 5 mètres de profondeur, entre l’air et la mer, des récifs coralliens au grand large, en passant par les rivières et mangroves et jusqu’aux confins de l’Arctique, Joe Bunni photographie des espèces et des lieux rares menacés par la pollution et le réchauffement climatique.

Comment l’homme peut-il faire face à la régression des roselières, lieu de vie de nombreuses espèces aquatiques, poissons, oiseaux, insectes... ? Un vaste chantier expérimental laissera derrière lui toutes les chances à la nature de reprendre sa place.

Il fait chaud au pays des bêtes à sang froid. Dans des conditions climatiques souvent extrêmes, la lutte pour la survie reste plus que jamais l'objectif de tous et les combats ne sont jamais gagnés d'avance.

Alors que la faune locale déserte les côtes à la fin de l'été austral pour des cieux plus cléments, le Manchot Empereur entre en scène, juste au moment où la banquise se forme.

Au rythme des saisons, des hommes et des animaux semblent s’épier. Bestiaire est une exploration poétique et silencieuse d’éléments entrechoqués, tranquilles et indéfinissables.

Enfin un film entièrement consacré au bouquetin, animal emblématique des Alpes. Ce documentaire aux images étonnantes, nous apprend bien des choses peu connues sur ce seigneur des cimes, véritable funambule des crêtes.

Ce documentaire dévoile dans un premier temps l'anatomie, la locomotion, la reproduction des caprelles. Ensuite, on découvre un autre minuscule crustacé, vivant dans les algues : le pantopode.

Ce film nous fait pénétrer dans le monde fascinant des libellules. Nous découvrons les formes et les couleurs extraordinaires des plus belles espèces d’Europe Occidentale : du stade larvaire au fond des lacs à la maîtrise du vol chez ces insectes, puis les parades et l’étrange gymnastique de leurs accouplements, les pontes sous l’eau, les prédateurs qui les captures et les proies dont elles se nourrissent.

« Je tiens beaucoup au partitif "DES" méduses, car les espèces si nombreuses et variées ont des modes de reproduction différents. Dans ce film on n'en indique que quatre… » Jean Painlevé