Catalogue Documentaires commençant par la lettre “D”

Que reste-t-il des identités, des cultures nationales ? Les pratiques quotidiennes ne sont-t-elles pas profondément nationalisées, par habitude, par confort ? Est-ce même vraiment possible de s’affranchir de ces frontières qui se sont constituées pendant des siècles ?
Épisode 1/8 : Au service des défunts

Un jeune Éthiopien rentre dans son pays après dix ans passés en France. Il emprunte le Djibouto-Éthiopien, ce train mythique qui relie Djibouti à Addis Abeba.

Le Doubs et la Loue occupent une place majeure dans le réseau hydrographique de Franche-comté et du massif jurassien. Issues d'une même histoire géologique et climatologique, chacune de ces rivières a pourtant eu et a toujours un destin singulier, sur le plan de sa nature même de cours d'eau comme sur celui de ses rapport avec les hommes.

Du cercle à la scène interroge les enjeux artistiques, politiques et sociologiques d’une intégration exemplaire. Celle qui mène aujourd’hui la danse hip-hop, du bitume de la rue aux planches de la scène contemporaine.

Coffret double : 2 méditations imagées
« Dieu est Lumière présente » 25 min
« Vous recevrez en fonction de ce que vous donnez » 29 min

Cette prom­e­nade audio­vi­suelle per­met de par­tir à la décou­verte d’un ter­roir. Tout au long de la ran­don­née, nous por­tons un regard atten­tif et curieux sur les dif­férents aspects d’un lieu et de ses habi­tants.
Partie 1 : Beaufortin. Partie 2 : Morbihan

Cette prom­e­nade audio­vi­suelle per­met de par­tir à la décou­verte d’un ter­roir. Tout au long de la ran­don­née, nous por­tons un regard atten­tif et curieux sur les dif­férents aspects d’un lieu et de ses habi­tants.
Partie 1 : Provence. Partie 2 : La Manche

« On est nés dans une région où tout est tradition. Un Pays Basque où l’on vit, où l’on s’approprie les montagnes, où l’on fait la fête comme nos parents. Je suis partie. Les jeunes avec lesquels j’ai grandi sont restés.»
Elsa Oliarj-Inès

Cette his­toire mex­i­caine com­mence… en France, au Fes­ti­val de Cannes 1946. Cette année-là, un film mex­i­cain rem­porte une Palme d’Or et annonce au monde du cinéma et au pub­lic inter­na­tional que quelque chose a changé au Mex­ique.

L’écouter, le regarder. Le filmer. Longue­ment, des mois durant. Seul, face à la caméra résol­u­ment fixe, immo­bile, comme à dis­tance. Dis­tance qui lui per­me­t­trait de se préserver, d’avoir le choix de se livrer, plus ou moins, aux sou­venirs, aux blessures, aux luttes d’aujourd’hui et d’hier.