Yves Billon Zarafilm

Une cen­taine d’années après la créa­tion de l’automobile, on estime que l’humanité a déjà brûlé la moitié des réserves mon­di­ales du pét­role que la nature a mis des mil­lions d’années à produire.

Dans les années d’après guerre, les rela­tions entre les pays indus­triels : de plus en plus dépen­dants des pro­duits pétroliers, et les pays du sud : par­cou­rus par des courants nation­al­istes, sont mar­quées par des tur­bu­lences économiques et poli­tiques.

La troupe de cirque « Fei Fei » sil­lonne les routes de la province chi­noise du Shanxi pour ten­ter de vivre de cette activ­ité tra­di­tion­nelle de diver­tisse­ment pop­u­laire. Mais les évo­lu­tions économiques et sociales du pays font que le pub­lic n’est pas tou­jours nom­breux...

Les expo­si­tions, les instal­la­tions, les foires d’art con­tem­po­rain se mul­ti­plient. Ici et là, des artothèques com­men­cent à essaimer avec pour voca­tion la démoc­ra­ti­sa­tion de l’art con­tem­po­rain.

En Espagne, il y a plus de 70 ans a eu lieu la mieux pré­parée, la plus aboutie, la plus pro­fonde, la plus pas­sion­nante des aven­tures humaines : la Révo­lu­tion Sociale Espag­nole de 1936.
Partie 3 : Il n’y a plus de fous

Aït Menguel­let est sans aucun doute le plus grand poète-chanteur vivant aujourd’hui en Kabylie (Algérie). Ce film, con­struit à la manière d’un clip poé­tique et austère, est ponc­tué d’images de la Kabylie dans une évo­ca­tion rurale et col­orée, à la manière d’un conte.

Mars 1998 : Antanas Mockus, maire de la cap­i­tale colom­bi­enne Bogota, décide à la sur­prise générale de démis­sion­ner de son poste pour se lancer dans la course présidentielle. Ce film retrace l’essentiel de son action.

Dernière étape de notre déambulation au cour de la société musicale brésilienne. São Paulo, mégalopole effervescente, développe elle aussi des rythmes métissés. 1994, le Brésil et São Paulo, découvrent le Rap.

En Grèce, au som­met de l’île de Karpathos se trouve Olym­pos. Depuis des siè­cles, dans ce vil­lage, beau­coup d’habitants jouent d’un instru­ment. La musique qui y est pra­tiquée est issue d’une tra­di­tion mil­lé­naire.

Il s’agit des stars du cinéma le plus pop­u­laire, celui de Bom­bay et de Madras. Leur notoriété est telle que leur nom n’apparaît pas sur les affiches gigan­tesques. Elles se doivent de tra­vailler sans arrêt pour cette pro­duc­tion la plus abon­dante du monde : 800 films par an.