Yves Billon Zarafilm

Une his­toire d’hommes puis­sants, de poli­tique, de pol­lu­tion, de sites pétro­lifères, et des con­séquences dra­ma­tiques que cela a engen­dré sur l’une des plus belle côte de Sicile.

Le rap français est une musique vivante, née dans les ban­lieues, de Paris à Saint-Denis, en pas­sant par Mar­seille, Bor­deaux, Stras­bourg…

Les par­ents de Felipe ont quitté l’Espagne en 1914. Ils sont arrivés à Raismes-Sabatier, petite com­mune du bassin du Valen­ci­en­nois. Felipe est né en 1916. En 1936, il n’a pas encore 20 ans lorsqu’il entend l’appel de la Pasion­aria : « Espag­nols de partout, venez défendre votre patrie ! ».

Qua­tre siè­cles et demi après l’arrivée des Por­tu­gais, cer­taines tribus indi­ennes du Brésil n’avaient jamais eu de con­tact avec les Blancs. À par­tir des années 40, les frères Vil­las Boas déci­dent de créer le con­tact avec ces Indi­ens pour les sauver de la men­ace que la poli­tique expan­sion­niste d’alors fait peser sur elles.

En 1951, le géo­graphe et anthro­po­logue Jean Malau­rie mène une expédi­tion de qua­torze mois en soli­taire, au Groen­land, dans la région de Thulé. Là, il est le témoin d’une tragédie irré­para­ble : la con­struc­tion par les améri­cains d’une base mil­i­taire nucléaire en pleine guerre de Corée.
 

Quar­an­tièmes rugis­sants, cinquan­tièmes hurlants : les ter­mes impor­tent peu. Un désert où des hommes, pour­tant, vivent et tra­vail­lent. Un enfer aussi, où ils s’affrontent.

Il s’agit des stars du cinéma le plus pop­u­laire, celui de Bom­bay et de Madras. Leur notoriété est telle que leur nom n’apparaît pas sur les affiches gigan­tesques. Elles se doivent de tra­vailler sans arrêt pour cette pro­duc­tion la plus abon­dante du monde : 800 films par an.

Aujourd’hui la ques­tion des grands change­ments exige des réponses con­crètes. Les représen­tants des nations européennes sont con­scients des enjeux, le par­lement Européen a déjà posé des jalons forts et a faits de l’environnement un enjeu pri­or­i­taire.

“La Com­pag­nie Lubat, c’est quoi ? Une usine à swing, sans la chaîne, pour faire, pour faire, défaire pour faire, pour faire faire, s’entendre, s’écouter, clap sur les étoiles, et pied au plancher; jouer à jouer, puisque nous sommes inca­pables de nous taire…”

En mars 1959, sera créé à la Havane l’ICAIC, l’Institut Cubain de l’Art et de l’Industrie Ciné­matographique. C’est le pre­mier acte de la poli­tique cul­turelle du nou­veau régime. Pen­dant les dix années qui suiv­ront, sous l’égide de cet organ­isme, le cinéma cubain con­naît un incroy­able essor.