Catalogue Documentaires commençant par la lettre “J”

Jules Renard, en citoyen sans cesse préoccupé par les problèmes de son époque, n’a pas été que le célèbre auteur de Poil de carotte ni l’inlassable pourvoyeur de mots d’esprit. Aussi ce film évoque-t-il les différents combats qu’il a menés.

Chaque année, le Parc de la Villette organise un parcours d'éveil artistique auprès d'enfants et de jeunes adultes d'établissements scolaires situés en milieu défavorisé.
Ce film suit le parcours de ces élèves tout au long d'une année scolaire. Il nous fait découvrir leurs premiers pas dans un univers qui leur est étranger, celui du cirque et plus généralement de la culture.

Ce film interroge la relation au travail des populations fragilisées ou en rupture d’emploi, il révèle combien, pour elles, la quête de sens est nourrie par leur activité professionnelle. Essayer de comprendre le sens que peut prendre le travail pour les personnes fragilisées est à la base de tout accompagnement. Le travail nous parle d’intégration, de reconnaissance, d’estime de soi, mais aussi de contraintes, de revendications et d’exclusion.

Figure essentielle du Nouveau Réalisme, Jacques Villeglé (Jacques Mahé de La Villeglé) pratique depuis près de 60 ans le « rapt urbain » en prélevant, sur un mode d’appropriation du réel, toutes sortes d’affiches lacérées qu’il extrait de leur contexte urbain.

Ce portrait inédit retrace la vie de l’un des plus grands personnages du sport des années 1970-1990 : Jacques Fouroux, le seul à avoir marqué le rugby français en tant que joueur, entraîneur et dirigeant de club. 

Dans ces entretiens enregistrés dans le Salon bleu des Vilmorin en 1975 et 1976, André Malraux évoque ses voyages, ses découvertes, ses artistes préférés, bref tout ce qui a marqué sa pensée esthétique. Ce « journal de voyage » est une sorte de testament philosophique, mais aussi une initiation aux arts du monde entier.

« Je veux qu'on m'aide » est un appel au secours, un cri de désespoir qui retentit dans un huis-clos où situation après situation, l'émotion nous habite et nous maintient dans une relation d'empathie forte avec les personnes qui poussent la porte du bureau de Colette Lefèbvre. 
Le film compose une mosaïque de dix rencontres intimes, il invite à l'écoute et interpelle sur des parcours de vie parfois si chaotiques. Le travailleur social exerce ses fonctions dans un commissariat de police de l'ouest parisien.

Où est la vérité et quel poids lui reste-t-il ? Mais tenons-nous vraiment à la connaître ? Le faux et l’erreur ne seraient-ils pas plus importants pour nous que la vérité, à laquelle nous sommes censés tenir passionnément ? Nietzsche a même dit que la naissance d’une illusion a été une exigence de la vie.

Après un parcours sinueux commencé dans les montagnes ukrainiennes, les métropoles africaines ou les campagnes Sri Lankaises, David, Rémy, Lilianne, Balan et Uma se sont arrêtés sur les bords du Rhin. Ils sont réfugiés.

Des pièces de métal rouillées perdues en plein champ, un pan de mur criblé de balles dressé sur une colline... Des traces... Traces muettes de la Première Guerre mondiale. Ces traces prennent sens au regard d’un journal, d’une voix, celle de Lucien Laby, médecin, soldat dans les tranchées...